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 La lente agonie d'Alexander

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Zolar

Zolar


Nombre de messages : 427
Date d'inscription : 16/04/2007

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MessageSujet: La lente agonie d'Alexander   La lente agonie d'Alexander Icon_minitimeMar 22 Jan - 2:28

Le moteur hurle à travers le désert, en direction d'un vestige d'une autre époque. Le véhicule a une sale mine. Rouillé de partout, les vitres arrachées, le pare-choc avant couvert de sang. Il roule depuis plusieurs jours à travers le désert,

Un homme les observe.

Après plusieurs jours de marche dans le désert, il étudie ce lieu d'avant le crash. D'après les rumeurs, il s'y trouverait de vasques quantité d'or noir, et il a bien l'intention d'en récupérer jusqu'à la moindre goutte.

Cet homme, c'est Alexander. Mercenaire à ses heures, il fait parti d'un groupe qui se fait appeler les phalanges pourpres.

Le buggy se rapproche dangereusement de sa position. Il réfléchit un court instant, et décide de sauver sa peau en se cachant tant bien que mal derrière un mur éboulé.

Quelques instant plus tard, le véhicule s'arrête devant la vieille pompe à essence.
Trois hommes et une femme descendent lentement du véhicule. Certains d'entre eux arborent une horrible marque sur le front.

L'Homme qui était au volant est un grand chauve. Il donne pas trop envi de rigoler. Son crane rasé ne fait que ressortir d'autant plus l'immonde Z taillé dans sa chair. La marque des plus immondes activistes du projet chaos.


"Evea. Tariq. Inspectez les environs et établissez un tour de garde. Avec Kendris on s'occupe du dépôt."

L'homme et la femme s'avancent tandis que les deux autres s'affairent avec de vieux jerricans.

...

"Bouges pas fumier !!!" Ne faisant même pas attention à l'ordre envoyé par Evea, Alexander prend déjà ses jambes à son cou et tente de s'enfuir dans le désert... La femme épaule son arbalète, ajuste sa cible, et met fin à la course du fuyard d'une flèche dans le mollet.
Alexander hurle.

"Bah alors, tu veux nous fausser compagnie ? On ne s'est même pas présentés!"
L'homme à terre est maintenant dominé par les quatre cinglés du projet chaos.

"Moi, tu vois, j’suis Evea. Lui c'est Zolar, à côté c'est Kendris, et celui qui salive à l'idée de s'amuser avec toi, c'est Tariq. " Le regard affolé d'alexander la fait pouffer d'un petit rire enfantin.
"J'imagine que t'es un de ces phalanges pourpres hein ? Quel nom débile ! nan mais vousz croyez vraiment faire peur à quelqu'un avec un nom à la con comme celui là ? Tu crois que t'as l'air d'un dur à chialer à nos pieds ? Un peu de respect pour toi-même bordel ! T'as pas d'couilles ?!"

"Tu m'dégoutes"fait Kendris "On va t'apprendre c'que c'est que de passer un salle quart d'heure. Tu peux m'faire confiance"
Un violent coup de pied dans les côtes joint le geste à la parole, suivit d'un second encore plus violent.
Alexander souffre. Il se tient d'une main le ventre, de l'autre sa jambe blessée.

Zolar avait eu la bonne idée d'amener jusqu'ici sa barre de fer.


"Ca doit faire mal hein ? Une flèche dans la jambe! Comment tu t'es fait ca mon gros! Laisses moi regarder ca..."
Les autres maintiennent le type tandis que Zolar empoigne la flèche, et se met à la tordre. A la tordre dans tous les sens. Lentement, rapidement, quelques petits coups secs de temps à autre. Ce ne sont que des préliminaires mais il commence déjà à prendre son pied.

"Ca va mieux ? Je m'occuppe bien de ta blessure ?"

"Ahhhh ca fait mal non!! Arretez !!"

"Je te comprends, ton autre jambe elle aussi a besoin d'attention ? Je vais m'occuper de toi."

Il saisit alors la lourde barre de fer, la lève haut, puis l'abat sur le genoux gauche d'alexander. Il relève la barre, la refait tomber à nouveau. Le type hurle, mais Zolar la relève encore et encore, tout d'abord sur le même genoux, mais celui ci se broie rapidement, si bien qu'une fois celui-ci réduit à l'épaisseur du jean ensanglanté, c'est l'autre genoux qui en fait les frais.

Les autres, avec un léger sourire en coin, observent Zolar terminer de s'amuser, broyer un à un les os des jambes de celui qui commence déjà à regretter d'être né. Il sera bientôt temps de commencer les choses sérieuses.


"Eh Zolar, tu m'aides à le retourner ? Je pense qu'il a envie que papa s'occupe aussi de lui... à sa facon."
Tariq est déjà en train de déboucler sa ceinture et sort son sexe face au derrière dressé vers le ciel. Kendris file quelques claques à Alexander, à la limite de tomber dans les vapes face à la douleur qui lui remonte des jambes tandis qu'on le retourne
'Eh, tu vas pas nous quitter hein? On commence à peine!"

Alors que Tariq commence sa besogne, inondant le pauvre imbécile d'insultes et de coups de reins, le derrière béant et étalé tant bien que mal face contre terre, les autres n'ont pas pour autant arrêter de s'amuser, alors qu’à chaque coup de plus, l’homme ainsi mise à mal avait la tête enfoncée de plus en plus dans le sable.

"Hé, ne fais pas l’autruche gamin, on vient à peine de commencer "

Tous se mirent à brailler de plus belle à cette tirade de Zolar
Kendris semble prendre un malin plaisir à casser une à une les côtes du malheureux, tandis que c'est à coups de poing que Zolar fracasse le nez de ce qui ressemble de moins en moins à un être humain.

Mais le pire de tous, le plus sordide de la bande n'est pas un homme, mais bien une femme. Pendant que les autres affublaient ce déchet d'être humain de coups de poings et de coups de reins, elle avait tranquillement sorti d'une poche de sa veste une petite trousse.
Dans cette petite trousse, c'était une véritable collection de petits objets coupants qui s'offre à elle. Des objets qui dans un lointain passé avaient pris place dans des hôpitaux, plus précisément dans des salles de chirurgie.

Scalpels, bistouris, grattoirs, curettes...c'était son truc à elle. Avant le crash elle aurait probablement fait une grande chirurgienne. Au lieu de cela, la voici en train de découper de petits steaks dans la chair tendre d'un dénommé Alexander, mettant ainsi à vif de fins fils blancs, de fins messagers de la douleur pour lesquels elle éprouve tant d'affection.

De ses main expertes, elle titille les nerfs du bout de sa pince, puis fait lentement monter la douleur déjà insupportable alors que . Elle caresse la chair à vif du bout de la pince comme elle caresserait le sexe d'un amant. Elle est tout d'abord douce, puis les mouvements de la pince se font plus vigoureux, plus violents, puis elle se met à tirer sur les nerfs par petits coups secs, violemment, se délectant des hurlements de terreur qui déchirent le désert.

Elle descend doucement sa sonde cannelé vers l’anus déjà bien mis à mal par Tariq, afin d’y effectuer une légère incision avec son scalpel. La plaie grandit à chaque coup de rein en plus de Tariq, un cri d’épouvante s’y accompagnant. Un cri presque inhumain.
Mais elle ouvre d’avantage pour prendre de ces pinces le scrutum d’Alexandre pour le presser d’avantage, provoquant ainsi une érection incontrôlable.
De son autre main, elle plante une aiguille juste à côté du corps spongieux devenu dur par la pression, où avec un mince fil chirurgical, elle pratique un étranglement de celui ci, créant un cockring artificiel.

La vision d’horreur d’Alexander est à son paroxysme, un mélange de douleur insupportable dans le ventre alors qu’un plaisir intense commencé à se manifester par cette scarification de ces voies génitales.
Evea, relache la pression de la pince et termine par implanté juste une aiguille à côté de son cockring , un nouveau cri étranglé, à la limite de la perte de connaissance se manifeste par ce corps de plus en plus mal en point. Elle l’enfonce de plus en plus dans la chair avec minutie comme si elle ne chercher pas à provoquer la moindre hémorragie en touchant un autre organe que celui dont elle cherchait : La course de l’aiguille passe les glandes de Tyson pour s’arrêter au niveau de la prostate du malheureux. Tariq n’en démord pas, accélère le mouvement, provoquant douleur mais aussi une érection plus forte de sa victime.

Satisfaite, Evea range ses ustensiles dans sa poche comme si rien n’était. Elle observe les contractions du sexe ainsi maintenu en érection et prend note de chaque spasme autour du cockring et de l’aiguille ainsi implanté.

En arrière plan, un dernier hallement se termine, un dernier cri, comme si on lui arracher la verge se fait entendre de la bouche d’Alexander, alors que des jets fins de semence sont éjectés sur le sable, provoqué par cet orgasme protastique, mélange de douleur et de plaisir qui faisait froid dans le dos


'C’est qu’il aime ça le bougre, attend que je finisse, mon grand!"

Un dernier effort qui déchire littéralement le rectum de l’homme, termine cette humiliation.
Alexander n'a plus grand chose d'humain. C'est à se demander s'il a encore une âme à ce moment là. Toujours conscient grâce à la prévenance de Kendris, il fixe désormais le vide de son oeil encore valide, l'autre, percé, coulant sur sa joue. Il vomit par moment un coulis de sang, bavant et articulant des phrases incompréhensibilités le reste du temps. Ses cris, avant terrifiants, se font plus rares, plus étouffés. Il s'en va petit à petit. Il remarque à peine Zolar en train de dévorer devant ses yeux un bout de sa propre chair que lui avait tendu Evea.

Il n'a même pas besoin d'un coup de grâce pour mourir. La mort est arrivée d'elle même. Lentement, horriblement, lui faisant découvrir des facettes de la douleur dont il n'avait même pas soupçonner l'existence.

Les quatre bourreaux sont épuisés, mais satisfaits. Il terminent leur besogne autour d'un feu de camp, appréciant leur dîner bien mérité, une blague de temps à autre, comme si de rien n’était, comme si rien n’inhabituel avait été fait.
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