La petite était assise, loin du feu de joie autour duquel s’agitaient les Arkhamiens ivres de champignons. Seule, perdue dans ses pensées. Elle semblait triste.
Tariq, qui m’affectionnait pas plus que ça le tumulte de la fête, s’éloigna doucement du foyer, et s’enfonça dans la nuit, vers Tiphareth. Vers l’objet de ses désir, qui hantait ses nuits depuis son arrivée dans la cité du chaos…
Elle ne l’avait pas entendu arriver. Quand la voix mielleuse du boucher de Kaboul retentit, elle sursauta.
- …hum… alors petite fille…tu ne t’amuse pas ? Tu as l’air toute triste…hum…aller, viens sur les genoux de tonton Tariq et dis lui ce qui ne va pas, hein !
(…)